mercredi 19 mai 2010

Vos meilleurs tweets dans la défaite du CH

Ce que j'aime de nous, Québécois, c'est notre manière de garder notre sens de l'humour dans l'adversité. Même après un deuxième blanchissage consécutif contre les Flyers en finale de conférence. Voici quelques tweets amusants glanés ça et là durant le match.




(Pénalité à Subban) @Minatoires: Voyons donc, coup de bâton ! Profilage racial.

(Panique en fin de troisième) @crapules: Enlevez le goaler, le coach et un ref.... On remplace ça par des attaquants!!! Right Fuckin Now!!!

(Déçu de Hal Gill) @crapules: Ça allait bien avant que Gill revienne, non? On peut pas l'envoyer chercher des chips au dépanneur et compter des buts en attendant?

@ChocolatRochet: Joel bouchard ''ils ont regarde Les videos halak EST excellent en bas du nombril'' hum... #habsdc

@sportnographe: Avec tout le crédit que Benoit donne, ça serait pas surprenant qu'il soit un peu responsable de la crise financière.

@fdepierrebourg: Canadien : ça sent la coupe Longueuil

@Ji_Ci_Ti: J'ai la patrie à terre #habsdc

@boissonrouge: Demain les petits drapeaux du CH seront a - 50%. #habsDC

@Fred_PG: Il ne faut pas mettre la peau de l'ours devant la charrue avant d'avoir vendu les boeufs. #habsDC

@CarolineBornais: Mauvaise idée de se fâcher avec un Cardinal durant ...les séries #habsdc

@AnneKarineG : 'sti, le olé olé olé.... sont baveux!!!!! #habsDC

@guybolduc: On se fait un pool qui marquera le premier but du CH dans cette série ??? Et à quelle période ? #habsdc

@olivierdilain : tellement pas intéressant la 1ere que don cherry parle des talents de la chanteuse de l'hymne ....#habsdc


mardi 13 avril 2010

Quand L'Hebdo rencontre Michel Chartrand - Actualités - L'Hebdo du St-Maurice

Quand L'Hebdo rencontre Michel Chartrand - Actualités - L'Hebdo du St-Maurice

J'avais rencontré Michel Chartrand en janvier 2000. C'est le genre de truc qui marque une carrière! 

mercredi 31 mars 2010

Jeff Andrews lègue une forte dose d’audace au milieu du spectacle


J'ai écris ce commentaire suite au décès tragique de mon vieux pote Jeff Andrews, pour documenter son oeuvre de manière différente. Le Nouvelliste le publie dans son édition du 31 mars 2010
* * *

C’était il y a 20 ans. Trois-Rivières était une ville plutôt morne. Le centre-ville sentait encore la Wayagamack par temps humides et le boulevard Des Forges était d’une tristesse infinie après les heures d’affaires.

Contre tout bon sens, Jeff Andrews, un grand gaillard timide au dehors et un peu nerd - étudiant en recherches opérationnelles à l’UQTR! - croyait qu’il y avait moyen de l’animer avec cette contre-culture qu’on retrouvait dans les grands centres. Que ça pouvait marcher. Même après un concert de Banlieue Rouge où il avait (encore!) mangé ses chaussettes.

Il en a géré des groupes talentueux aux accords de guitares apocalyptiques dont il était le plus grand fan. Genetic Error, champions de death metal, au premier chef, pour n’en nommer qu’un. Un autre, tiens : The Fuzz Washington Band qui n’ira pas très loin. Je n’en parlerais pas si un jeune guitariste de 16 ans du nom de Steve Hill n’en avait pas fait partie. Bien avant le Maquisart, Jeff était l’âme des soirées musicales enfumées du défunt et pas très fréquentable Club Touristique Trifluvien (le Trou, pour les initiés), sur la rue Hart. Et ça marchait!

Trois-Rivières est aujourd’hui une ville de spectacles et d’événementiels. Il n’en est pas le seul responsable, cela s’entend. Mais une ville est un peu vide au plan culturel si elle n’offre que des événementiels léchés commandités par Hydro Québec. 

Ce que le milieu trifluvien du spectacle lui doit, c’est une bonne dose d’audace. Celle d’offrir des spectacles différents, moins connus, plus marginaux. Parfois plus sales, oserons-nous le dire.

C’était le diplomate par excellence, celui qui savait trouver les compromis. Timide le Jeff, mais il savait créer de sacré liens. On est allé ensemble voir des shows à Montréal et à Québec. Plein de monde est allé voir des shows avec lui à Montréal ou à Québec! On n’a qu’à regarder les témoignages qui déferlent sur sa page Facebook pour s’en convaincre.

Le Gros Michel, légendaire portier aux Foufounes Électriques, l’appelait par son prénom. Il avait ses entrées chez Donald K. Donald pour qui il présentait des concerts à Trois-Rivières. Il était bien fier de me raconter la fois où il avait usé de ses contacts auprès du producteur pour permettre à un journaliste du Nouvelliste de rencontrer son idole, Rod Stewart en arrière-scène. Un grand homme qui avait le bras long!

Aujourd’hui, je suis en deuil de certaines années folles et d’un bon nombre d’articles que je n’aurais pu écrire sans sa complicité.

mardi 23 mars 2010

L'Hebdo diversifie son offre sur Internet

Bonne chose de faite... J'ai rédigé un article en bonne et due forme qui annoncera dans notre édition de mercredi notre virage Médias sociaux. Pour les statistiques, la page adepte compte 289 admirateurs et nous comptons 77 valeureux abonnés Twitter.

* * *

Depuis quelques semaines, de nouveaux éléments graphiques sont apparus dans la mise en page de L’Hebdo Rive Nord. Plusieurs références sont faites à des éléments d’informations diffusées par le journal sur Internet, par le biais de son site Web, mais aussi sur les réseaux sociaux que sont Facebook et Twitter. Une innovation qu’on ne retrouve nulle part ailleurs dans les journaux!

Ce n’est pas un secret, le Web est en mutation. Notre façon de naviguer sur Internet évolue et depuis la fin de 2009, L’Hebdo a décidé de se mettre au diapason de ces nouvelles réalités.

Stimulé par l’idée de retrouver les lecteurs là où ils se trouvent, le journal a créé sa propre page Facebook à l’adresse www.facebook.com/hebdorn. Le réseau, pratiquement inconnu voilà trois ans, regroupait en janvier plus de 400 millions d’utilisateurs. Si Facebook était un pays, il serait le quatrième plus populeux de la planète. Pas étonnant que L’Hebdo Rive Nord ait décidé d’en devenir « citoyen ».

Les adeptes de la page peuvent ainsi consulter les principales nouvelles que nous diffusons en se connectant à leur compte. Cet espace convivial permet plus facilement les échanges entre vous et l’équipe du journal. C’est aussi un espace pour partager facilement avec la communauté vos bonnes nouvelles et vos photos.

Chaque semaine, le journal fait tirer parmi ses abonnés Facebook une paire de billets pour un spectacle au Théâtre Hector-Charland.

Le journal diffuse aussi sur Twitter. Le site de « micro-blogging » diffuse aussi des nouvelles en 140 caractères. Le plus souvent, c’est l’endroit où l’on apprend les nouvelles, avant leur traitement par l’équipe journalistique du journal. En une phrase, en instantané. Une façon de communiquer avec lesquelles les adeptes de balayeurs d’ondes et de CB sont familiers.

À l’adresse http://twitter.com/hebdorivenord, les abonnés retrouveront de courtes nouvelles qui bien souvent ne rendront pas jusqu’aux pages du journal.
Pour les consommateurs d’information, Twitter est devenu incontournable pour savoir ce qui se passe en temps réel. Les grands médias (La Presse, Radio-Canada, le Journal de Montréal, CNN, etc.) diffusent aussi beaucoup de contenu. Plusieurs personnalités publiques émettent aussi des opinions par cette interface simple d’utilisation.

Phénomène encore plus nouveau que Facebook, Twitter explose, surtout depuis les dernières élections en Iran et le tremblement de terre en Haïti.

Pour ne rien manquer, il est aussi possible de s’abonner à la lettre d’envoi quotidienne qui dresse les liens vers les principaux articles diffusés sur www.hebdorivenord.com.

jeudi 18 mars 2010

Feu Fess Parker

Quand j'étais p'tit gars, c'était la course entre mon père et ma mère chaque matin que le Bon Dieu nous ramenait: c'était à qui serait le premier sur la page de nécrologie du Nouvelliste.
Comme rien ne se perd et que rien ne se crée, c'est pareil sur Twitter: c'est à qui annoncera la mort du jour en premier. 

Cet après-midi, c'est Fess Parker qui a passé le mousquet à gauche. Un héros de mon enfance... et celui de bien des enfances. Il avait 85 ans.

Il convient de décerner la palme du meilleur Tweet à Guy A. Lepage: 
@guyalepage: Daniel Boone est mort. C'est triste. Je connaissais mon Fess par cœur !!!

Un autre, plus "animal friendly":
@clementcardin combien de pauvres raton-laveurs doivent leurs morts à Fess Parker!!!
Tout ça pour promouvoir mon propre gazouillis: 
@hugolemay La twittosphère est unanime: on veut Daniel Boone sur Prise2!
Encore une nouvelle-nouvelle-pas-très-utile-pour-le-journal-mais-bonne-à-savoir!
La question qui tue: quelqu'un pourrait me donner les paroles de l'indicatif musical? C'est une quête vieille de 35 ans...

jeudi 11 mars 2010

Twitter se faufile dans la mise en page

Petit à petit, l’oiseau fait son nid… D’abord discret à la surface comme un organisateur d’élections, entrepreneur en construction à ses heures, le petit oiseau ne se contente plus de voler dans l’azur du Wi-Fi. 

Depuis quelques semaines, le charmant volatile niche dans nos pages. Du choc des lumières jaillissent les idées : au bureau, nous avons convenu d’indiquer, autant que faire se peut, l’étincelle, la première manifestation publique d’une nouvelle par le journal.
À titre d’exemple, il y a le député bloquiste Nicolas Dufour qui présentera un projet de loi privé pour modifier la loi sur les télécommunications canadiennes. C’est le pas très humble chroniqueur ès nouvelles technologies Michel Dumais qui avait allumé la mèche, le vendredi précédent. Une info que nous avions regazouillée (l’habile traduction est de Fectivement ™ ). 


C’était la première « manifestation publique » de cette nouvelle via L’Hebdo Rive Nord. Il y a dans cette approche une certaine philosophie de transparence, propre au 2.0. Il y aussi un désir de piquer la curiosité des lecteurs pour les amener dans cet espace de discussions moins formel.
Créer l'accoutumance

 Dussai-je le rappeler, sur le plan de frénésie autour de Twitter, on est encore loin du couple aux chèvres (ou n’est-ce pas plutôt de la soupe au lait?). 

Récemment, nous demandions à nos « suiveux » (je préfère le terme abonnés) de nous suggérer des femmes dignes de faire l’objet d’un portrait pour le 8 mars. Résultat : un regazouilli et un courriel plutôt corporatiste d’un organisme lanaudois qui nous suit. Excellente initiative, au demeurant, mais aucun des noms suggérés ne provenait du territoire desservi par le journal.
 
Dans l’édition du samedi, un petit encadré en page 2 reproduit deux « tweets » ou « retweets » diffués au cours de la semaine. Je l’aime bien, ce petit espace.

Il s’agit en règle générale de petites nouvelles que nous n’avons pas traitées pour diverses raisons. Par exemple un nouveau « lipdub » par les élèves du Centre de formation professionnelle ou l’annonce de la publication d’un album « live » des Cowboys Fringants, le 12 avril, enregistré en France. C’est sympa, non?

lundi 1 mars 2010

Guide pratique pour créer votre page fans Facebook

On avance un peu à tâtons avec les médias sociaux. Je m'étonne d'être adepte d'un journal, de faire partie du groupe d'un second en plus d'être ami avec un troisième.

Un excellent "how to" sur le blogue du Réseau veille en tourisme, relayé par Michelle Blanc ce matin.

» Guide pratique pour créer votre page fans Facebook

samedi 27 février 2010

Facebook: dur à battre pour le réconfort?

On n'a de cesse de s'émerveiller devant la puissance des réseaux sociaux. Des commentaires laudatifs soulignent jour après jour leur potentiel de réconfort devant l'adversité, leur faculté de briser l'isolement.

Une bonne amie à moi, dont j'ai des nouvelles de façon épisodique, vit une rupture après une relation amoureuse relativement brève. Je ne sais pas comment elle va. Je n'ose pas le lui demander. La pudeur, sans doute, m'incite à rester sur mon quant-à-soi. Est-ce le caractère public du babillard qui nous maintiennent dans la superficialité? Si mon amie trouve réconfort sur le sien, c'est qu'elle a une confiance inébranlable dans le genre humain.

Si mon amie s'enfarge dans mon petit carré de sable et qu'elle se reconnaît, je souhaite de tout coeur un petit "status update"!

Le premier commentaire ci-dessous, fait d'une syllabe et de deux consonnes... Ben c'est le mien! Il résume l'inquiétude d'un ami qui ne sait trop s'il doit consoler un chagrin ou féliciter d'un bon débarras. Dire qu'on en a encore pour nonante années dans ce siècle...

vendredi 26 février 2010

L'état du Web

Les chiffres sont vertigineux. Il y a 126 millions de blogues, six millions de pages sont vues chaque minute sur Facebook. Quelques-unes de ces stats semblent dater de quelques mois. La vidéo fait état de 27,6 millions de tweets chaque jour en novembre 2009 alors qu'on a franchi le cap du 50 en janvier. Vidéo diffusée par Alltop.


JESS3 / The State of The Internet from Jesse Thomas on Vimeo.

jeudi 25 février 2010

Scène de la vie familiale sur Facebook

 
Je me dois tout de même de rendre justice au coauteur de mes jours: c'est lui qui m'a transmis cette passion d'écrire, de même que les fleurons de la rhétorique. Mais il a de ces expressions savoureuses parfois!

mercredi 24 février 2010

Salut Guillaume!

Nouvelle poche pour Médias Transcontinental aujourd’hui. Guillaume Brunet, « directeur marketing et service client du Groupe des nouveaux médias et des solutions numériques » (c’est son titre) quittera le 8 mars pour Optimum, relations publiques, de Cossette Communications. Il a fait son « coming out » à la rencontre de Yulbiz, hier.

Je l’ai rencontré deux fois lors de formations sur les médias sociaux. Rencontres d’orientation serait plus juste car le cadre lui a tout juste permis d’allumer la mèche.

Une partie de mon travail consiste à oeuvrer sur le Web. Sur ce front, c’était rendu assez tristounet avec une plate-forme qui a connu des jours meilleurs, pour ne pas dire dépassée. Dieu merci, ses jours sont comptés.

Guillaume travaille au siège social, au 1100 René-Lévesque. Malgré que son mandat en couvre large, il s’est montré très attentionné.

Sous son impulsion, nous avons développé une page sur Facebook et une autre sur Twitter, en procédant de façon ordonnée. En avançant parfois à tâtons, à apprendre par nous-mêmes comment ça fonctionne.

Avec son regard bienveillant, sa passion, sa grande compétence et une disponibilité sans faille pour régler les pépins. Même s’ils ne se réglaient pas toujours en deux claquements de doigts.

Tiens, cet aprèm, il a répondu à mes aurevoirs par Merci Hugo (,,,) « je t'offre mon service après vente. Tu me contactes quand tu veux. »

C’est de lui que me vient l’idée de tenir ce modeste blogue. Toute cette aventure dans les médias sociaux, qui m’apparaissait si complexe, représente aujourd’hui un fort beau défi, stimulant. Je traiterai des premières retombées, au cours des prochains jours.

J’ai la convictions que mes collègues, en particulier Manon @deslongchamps et @manondurocher partagent mes propos.

Cher Guillaume, it’s always a business to do pleasure with you!

Sa première entrevue à titre de futur directeur principal des médias sociaux chez Optimum


dimanche 21 février 2010

Mes huit tweets préférés cette semaine


@Burp_et_Epicure Quand "Zamboni" est dans les sujets les plus discutés sur twitter au Canada, tu vas sur Facebook ou tu changes de pays.

@danyturcotte Je crois que Lucien Bouchard s'est tiré dans le pied... Oupse, s'cusez;-)

@Bureau134: "Le gars qui a dit que la vie est un long fleuve tranquille est demandé à notre bureau. On voudrait lui crisser une volée."

@quebecurbain pour @f_cardinal “Je suis de Terrebonne-Humeur". Espérons que Rapaille trouve mieux que ça pour Québec http://bit.ly/c8DBsa

@Kick1972 Interviewé Suzanne Lévesque pour les Francs Tireurs. Money quote : « Au Québec, on chiâle toujours mais nous ne sommes jamais en colère.»

@mcgilles Des chandails du Canada partout... On se croirait la veille d'un référendum à Montréal http://twitpic.com/14nuoa #Vancouver2010

@ReDa_ Est ce que qq d'autre a remarqué la MILF derrière Taylor à #TLMEP ?

Et puis qu’on est jamais mieux servi que par soi-même :

@hugolemay Les p'tites madames qui jamment la caisse 15 minutes pour faire leur épicerie de gratteux, ça m'énarve! #jeudiconfession

samedi 20 février 2010

Les médias sociaux: juste une passade?

Pour ceux qui n'auraient pas encore vu cette vidéo, les données sont assez hallucinantes sur les nouvelles manières d'utiliser le Web.

Chouettes visuels!

Nous n'avons pas encore claironné haut et fort notre conversion vers les médias sociaux dans les pages du journal. Je veux dire, lancé une offensive promotionnelle ou écrit un quelconque article pour officialiser notre présence sur Facebook et Twitter. La raison étant que nous sommes toujours en mode essais-erreurs. Par contre, nous semons ça et là des informations indiquant que nous avons pignon sur rue.

Par exemple, nous publions aujourd'hui une section spéciale réservée aux journalistes étudiants. Dans un haut de page, les infographistes nous ont bricolé ce chouette visuel.
Sans compter qu'en page 2, tous les samedis, on copie-colle des Tweets émis au cours de la dernière semaine. Les lecteurs ont ainsi accès à des informations qu'ils ne trouveront pas autrement en feuilletant la version papier du journal.

jeudi 18 février 2010

Nos oreilles dans la taverne

Il y avait un je-ne-sais-quoi d’un peu suranné à mon arrivée aux bureaux de L’Express Montcalm, à Saint-Lin-Laurentides. Un bureau discret au cœur du village où l’on entre comme chez son barbier. 

C’était mercredi, une journée plus tranquille au bureau. Le mercredi, je m’affaire à comprendre comment tirer une copie du photocopieur et à repriser mes chaussettes. Le nôtre, à Repentigny, peut produire des résonnances magnétiques en 3-D, mais allez savoir pourquoi, impossible de tirer la copie d’un article du journal.

Mon confrère et ami Jean Joubert, rédacteur en chef de L’Express voulait se mettre à la page de Twitter. Parce qu’il faudra bien s’y mettre tôt ou tard. C’est qu’il est pas très techno, le M. J. Le début cinquantaine, Jean aborde son métier avec un téléphone, un stylo, un crayon et des rencontres avec ses sources.

Ne le cherchez pas sur Facebook. Par bonheur, il avait invité le pigiste Gilles Dubé. En mode "crash course", deux têtes valent mieux qu'une pour tout retenir.

En deux heures, nous avons :
2) Sauvergadé des mots-clés à travers la fenêtre recherches
3) Appris comment trouver des tweets émis dans le coin avec search.twitter.com
4) Configuré le flux Actualités sur Twitterfeed
5) Configué un compte sur bit.ly
6) Appris comment envoyer un message privé

Un ami commun, Daniel Dubrûle, journaliste lui aussi, nous repère en moins de deux. Jean a travaillé avec lui au Courrier Laval, moi je le connais depuis l'époque où Daniel était au journal le Trait d'Union, si ma mémoire est bonne, de je ne me souviens plus trop quel Cégep.

Depuis le temps que j’en rêvais, nous sommes ensuite allés casser la croûte à la chic brasserie Le Tombereau (ça ne s’invente pas!)


André Larivière, l’un des patrons du journal, y absorbait son salé justement. Vendu au web, le vieux routier se méfie un peu du nouvel outil de communications. « N’importe qui peut crier n’importe quoi dans une taverne, ça veut pas dire que c’est vrai ». Je ne sais pas si André pressentait la « fausse » mort de Gordon Lightfoot, mais sa remarque est tout à fait appropriée.

Moi, je veux l’entendre la rumeur dans la taverne. Ou lire les 140 caractères douteux, c’est du pareil au même. Comme journaliste, c’est là où mon travail commence. Pas là où il finit.
À sa première journée, le camarade Joubert (il est maintenant syndiqué) se débrouille bien. Il prévient même ses (huit) abonnés de ce qui s’en vient :

@expressmontcalm La SADC Montcalm lance un nouveau produit demain. Reno-façade pour les commerçants Nous y serons.

Pas mal pour un « new kid on the block »! 

Allez Jean, je t’ai pardonné d’avoir mis le feu à mes feuilles lors d’un direct à la radio aux Jeux du Québec. Gazouillons dans la paix, la joie en l'harmonie!

Gordon Lightfoot: pas si mort que ça y paraît!

Les détracteurs de Twitter vont nous en mettre plein la gueule. Le chanteur folk Gordon serait mort. Je l'ai appris sur Twitter. Même le Vancouver Sun a annoncé la nouvelle. Puis, l'a retirée du site... Pour publier une autre nouvelle blâmant une rumeur de Twitter comme si le journal lui même n'était pas tombé dans le panneau!


Un abonné Twitter s'amuse de la situation:

@wmacphail Canwest blunderfest 1) Get the story wrong 2) invisibly remove the story 3) pretend it was all the Internet's fault.

Le blogger Fagstein s'en amuse lui aussi: 
@Fagstein: Oh wait, Gordon Lightfoot is dead again, according to Calgary Herald: http://bit.ly/cuwjqo
aussi:
News outlets that said Gordon Lightfoot had died now talk about "Twitter rumours" - so that's a good enough source for them?

 Comme le disait si bien Woody Allen: "Les rumeurs concernant ma mort ont été nettements exgérées".

MAJ Sur Facebook, ma consoeur Toula Drimonis m'écrit:


It hasn't been confirmed yet. His PR agent said he's still alive, which usually means he's probably dead and they just haven't confirmed it. 
Rigueur, rigueur, rigueur...

MAJ À 16h10, Radio-Canada confirme que Lightfoot est bien vivant et qu'il aurait accordé une entrevue à une radio Torontoise peu après l'annonce de sa mort...

lundi 15 février 2010

Journalistes et Twitter: la confiance s'installe

Le Québec, à part quelques Dominic Arpin disséminés ça et là, n'a pas encore le réflexe bien installé de mettre à profit les médias sociaux. Mais ils font tranquillement leur niche chez nos voisins du Sud, rapporte un blogue du quotidien français Le Figaro. 

Le micro-blogging perce doucement : très largement adopté comme source par les journalistes Web (69%), il commence à séduire les plumes de la presse quotidienne (49%) et magazine (45%).
Prêts à écouter ces sources, les journalistes n'en sont pas moins prudents sur leur qualité : 84% des sondés estiment que les contenus des médias sociaux sont moins ou légèrement moins fiables que ceux contenus dans les médias traditionnelles. Plus un journaliste est expérimenté, plus il semble se méfier de ces sources, être issu de la presse écrite renforce encore cette idée. Principal grief : le manque de vérification (cité par 49% des sondés).
Un peu plus de la moitié des journalistes sondés reconnaissent que les médias sociaux ont eu une certaine importance dans l'enquête et la production de certains articles.




dimanche 14 février 2010

Mes dix tweets préférés de la dernière semaine


@MCMAXTOM Le iPad, l'évolution du Lite Brite

@SimonPaquet Pourquoi ma vie ne ressemble jamais à un film dont la musique serait faite par John Williams?

@DavidLaHaye: Je twitte toujours avec des lunettes 3D ... Ça donne plus de relief à ce que je dis ! .: )

@PierreBrassard J'ai rêvé que je cherchais du parking en compagnie de Simon Durivage.

@MichelleBlanc «J'avoue ne plus être capable de parker comme faut depuis que jsuis une femme» http://twitpic.com/12gjld

@Marthlarose Pluie à Vancouver: Attention aux tondeuses sur les pistes de ski

@Minatoires Théo est l'ancien Jeff Hackett qui fut jadis le nouveau Andy Moog.

@Minatoires C'est officiel ! Georges Laraque n'ira pas aux Olympiques : tous les billets sont vendus.

@sdratwa: Plus le monde se mondialise, plus la terre se terrorise

@Fen_rick Si vous connaissez l'homme et le jeune de l'Ile-Bizard disparus avec motoneige dans lac des Deux-Montagnes, contactez-moi: 514-594-0763.

samedi 13 février 2010

J’haguis la fanpage de Facebook

La fragmentation des auditoires, ça vous dit quelque chose? À mes débuts au Courrier-Sud, on ne se cassait pas la tête. Tout le monde lisait le journal quand il arrivait par la poste. On n’avait pas beaucoup d’efforts à faire pour rejoindre les lecteurs. À moins de leur téléphoner un à un, les moyens étaient peu nombreux anyway.

En 2010, en plus du journal et du site web, il faut consentir des efforts pour se rendre jusqu’à eux. Et comme 400 millions d’êtres humains fréquentent Facebook - ils n'étaient que 350 millions en décembre 2009 -, c’est une bonne idée d’aller les rejoindre jusque-là, de se rendre disponibles à leur quotidien.

Essayez d’interagir avec la gazette du jour pour voir! Avec Facebook, les lecteurs peuvent facilement interagir avec nous depuis une plate-forme où ils sont habitués de s’exprimer, d’émettre des commentaires, publier des photos, etc.

Bref, un moyen en or d’ouvrir une écoutille sans pour autant être un crack de l’informatique. C’est l’une des beautés du Web 2.0, son aspect ease of use.

Il faut toutefois une bonne dose de détermination pour composer avec les irritants de la page adepte, préférable à la « page personne » et à la « page groupe » pour communiquer avec son auditoire.

Est-ce moi qui ai traîné trop longtemps dans le XXe siècle ou la page adepte de Facebook qui est mal foutue? Dans un cas comme dans l’autre, mon verdict se résume en un symbole typographique et quatre lettres : #Fail.

D’abord, assurez-vous que le créateur votre page sur Facebook reste en vie ou qu’il ne passe pas dans le tsunami de la prochaine restructuration administrative. Parce que son statut est INAMOVIBLE. C’est la seule personne qui sera autorisée, par exemple, à donner un nom à votre page. On arrive au formulaire en cliquant ici.

J’ai dû faire venir Gérard Legault au bureau, notre Dieu-tout-Puissant de photographe pour pouvoir créer l’URL www.facebook.com/hebdorn. Fatras de cul, dirait mon grognon de papounet. Par chance, l’ami Gérard est d’un commerce agréable.

Impossible de zigoner – ou est-ce ma crasse ignorance? – directement sur la page de la figure livresque sans me brancher via mon compte personnel.

Je peux toujours publier un article sur le babillard depuis ping.fm, Tweetdeck, Seesmic, Hootsuite, en même temps que je l’annonce à l’univers sur Twitter, mais le résultat est affreux.


Pour obtenir un résultat plus aguichant, je dois inscrire un titre à la main, puis insérer le lien à la mitaine, ce qui devient fastidieux à la longue.


 Par contre, tout y est : une petite imagette, les premiers mots de l’article, tout pour donner le goût de la lecture quoi!
Pour plus de détails sur la page adeptes, cliquez ici.

vendredi 12 février 2010

Médias sociaux… ou crève


C’est Twitter ou la porte. Qu’est-ce que j’aimerais lancer ça au dentier de mes confrères journalistes au bureau. Mais je ne peux pas. C’est que ces charmantes petites bêtes sont syndiquées. 

Blague à part, même si le Québec affiche des retards importants au chapitre des médias sociaux, ce sont des outils de travail que je développer avec eux cette année. 

Le très réputé site de médias sociaux Mashable rapportait cette semaine que Peter Horrocks, nouveau directeur des nouvelles à la BBC, a lancé cet ultimatum aux journalistes de la boîte. Dans le bulletin interne du diffuseur Britannique, il mentionne « (Les médias sociaux) ne sont pas qu’une passade. Je crains que vous ne fassiez pas votre travail si vous n’y êtes pas. Et ce n’est pas libre à votre bon vouloir ». 

“Aggregating and curating content with attribution should become part of a BBC journalist’s assignment; and BBC’s journalists have to integrate and listen to feedback for a better understanding of how the audience is relating to the BBC brand.

Horrocks, formerly head of the BBC’s multimedia newsroom, finds clear words for it: ‘If you don’t like it, if you think that level of change or that different way of working isn’t right for me, then go and do something else, because it’s going to happen. You’re not going to be able to stop it.’”
Mine de rien, 1,2 milliards de gazouillis ont été émis sur Twitter en janvier 2010. Rien que ça!

La nouvelle telle que traitée par The Guardian ici.

jeudi 11 février 2010

Twitterfeed : pour les journalistes paresseux sur Twitter


Beaucoup de broue dans le toupet mais très peu dans cette bière que vous n’avez pas le temps d’écluser. Y’a Tony qui a de chouettes projets d’infrastructures pour votre ville et qui attend votre réponse pour aller en jaser dans sa chaloupe. Vous êtes en retard pour le formidable photo-op des Chevaliers de Colomb. La prod tape du pied parce que vous sautez encore l’heure meurtrière. 

Et le grand tarla (c’est moi ça) fait atterrir le papillon qui fait s’écrouler la montagne de rapports annuels du CLD, de la SADC et autres FLQ, le procès-verbal de la commission scolaire et le celui du dernier conseil de Sainte-Sophie-de-Lévrard sur un plancher déjà jonché de vieux exemplaires du Devoir et du Journal de Montréal pré-conflit. 

D’abord, un grand respire et passez la gratte sur le plancher, ça fait malpropre.

Twitter, c’est un peu comme Tim Horton’s : on trouve toujours le temps. Parce qu’en programmant adroitement twitterfeed, ça marche tout seul!

Les sites de Médias Transcontinental offrent des abonnements aux flux RSS.

Sous le logo du journal, en haut à gauche, on retrouve "fils RSS" qui nous donne accès à toutes les rubriques.

On clique sur la rubrique de son choix, ce qui donnera un résultat affreux à l'écran. On s'en fout, ce qui nous intéresse, c'est ce qui se trouve dans la barre d'adresse.

Pour le flux Actualités de L’Hebdo du Saint-Maurice à Shawinigan, on trouve l’adresse http://www.lhebdodustmaurice.com/Rss/category/6157/Actualites

Après avoir créé son compte Twitterfeed, il faut créer un nouveau "feed".









Ensuite, il  faut coller l'adresse du flux et cliquer sur "test rss feed"
Ensuite, le salut passe par les "advanced settings". Trois zones ombragées à surveiller. D'abord "Post content", réglé par défaut à "Title & description". Cette option inclura le titre et les premiers mots de l'article avec des points de suspension au moment de donner l'adresse. Souvenons-nous que nous ne disposons que de 140 caractères. Ma suggestion est de sélectionner "title only". Ensuite, "Shorten link trough". bit.ly est sélectionné par défaut, mais Twitterfeed donne l'accès à plusieurs services. Les adresses de nos pages web peuvent compter jusqu'à 80 caractères, sinon plus. Les "link shortener" ont pour fonction générer des adresses de 13 caractères qui redirigent vers les adresses réelles, Un must pour Twitter! On continue ensuite à l'étape 2.


 Ensuite, il faut dédouaner le tout...












Maintenant, filez, y'a Tony qui attend...

mercredi 10 février 2010

Comment trouver des « twitteux » dans son coin de pays?


Je m’ennuie parfois d’Émilien Bergeron. Un fort-en-thème que les animateurs de tribunes téléphoniques en Mauricie appelaient par son prénom. Du haut de sa troisième année forte (forte parce que réussie après trois tentatives infructueuses), Émilien réglait en deux coups de cuiller à pot les problèmes que les innocents de gestionnaires bardés de diplômes n’arrivaient pas à résoudre à L’Hôpital Laflèche de Grand-Mère.

Par pudeur peut-être, je n’ai pas cherché si le tonitruant octogénaire gazouillait. Dans son cas, on pourrait parler de croassements, mais c’est une autre histoire.

À bien y penser, l’histoire de la Mauricie regorge de « Twitters avant la lettre », des politiciens comme Maurice Duplessis, Maurice Bellemare, Yves Duhaime, Jean Chrétien. Des politiciens capables de comprimer leur pensée politique en 140 caractères.

Le « p’tit gars de Shawinigan », par exemple. Au sujet de la fusion des banques, il croyait que des banques plus grosses ne seraient pas plus efficaces. Il avait déclaré « Même si je pesais 250 livres, je ne ferais pas un meilleur premier ministre » (76 caractères).

À propos de la question référendaire du gouvernement péquiste : « C’était assez mêlant leur affaire que même moi j’ai failli voter oui » (68 caractères).

Des perles comme celles-là, ça ne se retrouve pas sous le piaf d’un cheval, on en conviendra. La twittosphère en fourmille, pourtant.

Comment « patrouiller » efficacement son coin de pays? Sur la page d’accueil de Twitter, il y a une petite fenêtre de recherches. Le beau de l’affaire, c’est qu’elle est en mesure de mémoriser une série de mots-clés. Par exemple, le nom de votre ville. Le moteur de recherches va recenser chaque « tweet » contenant le mot-clé. Un peu comme le fait Google. Dans ce cas-ci, j’ai entré le nom du populaire abrevoir La Ripaille. Puis, je clique sur « sauvegarder cette recherche ». 

Plus tard, je n’ai qu’à cliquer sur le mot-clé pour que les résultats sortent en moins de temps qu’il ne faut pour dire « plusse meilleur pays au monde ». 


Le moteur de recherches search.twitter.com est un site web distinct qui fouille la Twittosphère. Pour trouver les gazouilleurs des environs, je clique sur « advanced search ».


Je déroule ensuite jusqu’à "Places" et hop! La brave bête inventorie les derniers cris émis dans un rayon de 15km de Repentigny. 

mardi 9 février 2010

Pas barré à 40

L’histoire se passe à Florence, en Italie, par un frisquet matin du XVe siècle. Ce jour là, le philosophe Jean Pic de la Mirandole décide de partir la mode de la Renaissance. Soupesant l’ampleur de la tâche, il soupire « Y’en aura pas de faciles » en finissant ses ablutions matinales. Le néoplatonicien était loin de se douter que son commentaire allait inspirer un néoblogueur à six siècles de distance.

vendredi 5 février 2010

Discussion sur les médias sociaux à Bazzo

Discussion très intéressante à bazzo.tv sur les médias sociaux, à l'émission du 4 février. Je ne suis pas particulièrement un fan de Denis Coderre, le politicien, mais de @DenisCoderre, le twitteux, oui! Voyez le segment de l'émission ici. La consommation de l'information s'oriente bel et bien vers les médias sociaux.

Twitter, facebook, blogues, MySpace, Flickr... Avec André Mondoux, professeur à l’UQAM, et Martine Pagé, blogueuse, on se demande en quoi les médias sociaux changent notre rapport au monde.

Mes huit tweets préférés cette semaine

@DavidLaHaye J' ai déjà couché avec Louise Cousineau pour avoir une bonne critique à tivi. #Jeudiconfession.

@InfluenceComm Sur les 10 personnes les plus citées dans les médias du Qc depuis le 1er janvier : 2 seulement ne sont pas liées au hockey. Doh...

@cliqueduplateau Qu’ont en commun le pape et Toyota? Réponse: Les deux ont un problème avec les pédales!!!

@mathlarose c'est tu possible que quand je ouvre mon fromage ficello que ça ne fasse pas de bruit ... baptême on dirait un chevreuil qui rotte ...

@danyturcotte De plus en plus Twitter et de moins en moins Facebook... J'ai l'impression d'être passsé à l'ouest!

@PaulJournet Question du jour: le ministre Bolduc continuera-t-il à parler du "modèle Toyota"?

@MarcCassivi Je fais mon métier principalement pour me faire des amis. Parce que j'en n'ai plus. #Jeudiconfession

@JFBegin En (léger) retard, cette perle de Benoit Brunet: "Lou nous a sorti un autre chapeau de son sac."

jeudi 4 février 2010

Pour les journalistes débutant sur Twitter


Je constate que plusieurs collègues sont réticents à s’investir dans les réseaux sociaux. Ils ne veulent pas se mettre à nu sur Facebook. D’autres ne sont pas intéressés à lire que leur cousin « vient de finir sa journée et dévisse une Laurentide ».

Twitter n’est ni l’un, ni l’autre. On y dévoile que le strict minimum d’informations personnelles. Depuis ses débuts, Twitter a grandement évolué. On y trouve de moins de gazouillis plutôt personnels et de plus en plus d’information. C’est d’ailleurs la partie Twitter qui m’intéresse.

Votre compte est ouvert, vous y êtes? Il ne se passe rien? C’est normal. À défaut de s’exprimer, il faut s’abonner à gazouilleurs (les « suivre ») pour que ça devienne intéressant. @Untel est intéressant? Cliquons sur sa liste d’abonnements pour voir à qui il est abonné ce que ces derniers gazouillent. Il y a aussi une petite fenêtre de recherche pour entrer ses mot clés.
Voici une liste partielle et surtout partiale de participants intéressants à « suivre » pour s’initier graduellement au fonctionnement du service.
Les hebdos
@infodimanche Des débuts prometteurs à Rivière-du-Loup
@hebdorivenord C’est ma shop!
MAJ @journalaction Nos collègues de Joliette. Pionniers des hebdos sur le Web au Québec
MAJ @HebdoLaNouvelle La Nouvelle de Sherbrooke
MAJ Je met ma liste à jour régulièrement.

Les grands médias
@lactualite Le magazine numéro un de l’info au Québec
@Radio_Canada Pour recevoir les dernières nouvelles. Toutes les déclinaisons de Radio-Canada sur Twitter ici
@MagazineTrente L’organe de la FPJQ
@JdeMontreal Politiquement incorrect, oui, je sais…
@nytimes C’est tout de même la bible!
@InfluenceComm Pour connaître les sujets les plus traités dans l’actualité

Les journalistes
Ils poussent parfois de petites infos, leurs articles et bons coups de gueule
@fdepierrebourg Solide journaliste d’enquête à ruefrontenac.com
@paulevermot Fait un travail solide pour faire le lien entre Le Nouvelliste (battu de vitesse par le quotidien @lenouvelliste, en Suisse) de Trois-Rivières et la twittosphère
@MarcCassivi Aussi pertinent que dans La Presse
@RC_CarnetTechno Bruno Guglielminetti est aussi solide pour les analyses technos que l’information via les médias sociaux
@hugodumas Autre chroniqueur pertinent de La Presse
@DominicArpin Voir RC_CarnetTechno
@fagstein Le plus souvent en anglais, le journaliste Steve Faguy offre de bons coups de gueule et des analyses fort intelligentes des médias québécois
@NathalieCollard L’éditorialiste de La Presse est époustouflante pour sa maîtrise de l’outil
@SeverineGalus/journalistes-qc La journaliste Severine Galus a regroupé 317 journalistes québécois dans une liste

L’information, l’information, c’est bien beau…

Pour le sourire
@cliqueduplateau Les pires niaiseries, elles s’y trouvent
@mcgilles Collectionne les bizarreries de Twitter
@PierreBrassard En fait, ses chroniques à 3600 secondes d’extase sont des tweets
@danyturcotte Un nouveau venu auquel on peut s’identifier
@sportnographe L’émission intello-sportive poste beaucoup de déclarations sans queue ni tête à la Jean Perron. Courtes pauses-détente!

Sur les médias sociaux
@guillaumebrunet Stratège, gestionnaire et conférencier en marketing interactif. Est tombé dans la marmite quand il était petit : son père a été président et éditeur au Nouvelliste!
@MichelleBlanc A-t-elle encore besoin de présentation?
Et vous, quels sont vos « musts » dans ces catégories?

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